Histoire et origine de la famille Menard

Jacques Ménard dit Fontaine, fils de Jean Ménard et Anne Savinelle, est né vers 1628 à Mervent, Fontenay-le-Comte, en Vendée. Il a épousé Catherine Forestier, fille de Jean et Julienne Coiffes à Trois-Rivières en 1657. Ils ont eu 13 enfants. Il fut serrurier, domestique, charron et capitaine de milice. Au recensement de 1681, il habitait à Boucherville et possédait 2 fusils, 5 bêtes à cornes et 7 arpents de terre en valeur. Il y est décédé en 1707.

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Adrien Ménard est baptisé en janvier 1730 à St-Jean-Baptiste, en France. Fils de François Ménard et Louise Guérard, il épouse Angélique Dupont, fille de Noël Dupont et Angélique Morneau, en novembre 1764 à Cap Saint-Ignace. De cette union naissent au moins 5 enfants. Arrivé au pays avant 1759 en tant que navigateur, il s’installe à Cap Saint-Ignace, puis à l’Islet. Son épouse étant décédée, il marrie en secondes noces Charlotte Gamache, fille de Joachim et Marie-Scholastique Thibault, en 1778 à l’Islet. De cette union naissent 6 enfants. Il décède à l’Islet en 1809.

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Jean-Baptiste Ménard-Minard-Vive-l’Amour est né le 13 juillet 1732 en Portalier, Doubs, en France. Fils de Poncet Minard et de Marie Dupuis, il épouse Marie-Josèphe Éthier, fille d’Étienne et de Marie-Madeleine Roy-Desjardins, le 1er mai 1758 à Repentigny. De cette union naissent 10 enfants. Ce soldat des troupes de Montcalm, régiment de la Sarre, compagnie de d’Oms, arrive au pays en 1756. Il s’établit d’abord à Repentigny, puis Sainte-Anne de Bellevue et finalement à Pointe-Claire. Il décède le 28 août 1800 et est inhumé le lendemain à Vaudreuil.

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MÉNARD - variante de Magnard, du nom germanique 'Magenhard', qui signifie 'robuste-aguerri'.

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MÉNARD – Altération du nom germanique « Maginhard », de « magin » qui signifie force, puissance et de « hard », qui signifie dur et fort.

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Le premier Ménard arrivé en Nouvelle-France était de la Commune du dép. de Vendée, arr. de Bourbon-Vendée. Il existait une trentaine de langues régionale en France au moment de la colonisation. Seul le Roi, la noblesse et ceux qui les côtoyaient parlais le «françois» qu’on appel quelques fois le «parisien». Selon «Les Canadiens-Français, Origines des familles- N.-E. DIONNE, LL. D., M. D. Professeur d'Archéologie à L'Université Laval- 1914, page 429» l’ancêtre parlait le Poitevin et son nom vient du mot « menars» qui signifie en français source, fontaine. Il existe en effet des Ménard au Québec qui sont des descendants des Magenhard. Ceux-ci sont arrivés plus tard. Ces ancêtre était des soldats germaniques que le Roy français avait emprunté de ses cousins des royaumes voisins parce qu’il manquait de volontaires. Les soldats pouvaient décider de rester après la fin de leur contrat. Peu savaient écrire, ils ont donc eu leur nom francisé sans vraiment que ce soit volontaire. Sources : - Les Canadiens-Français, Origines des familles- N.-E. DIONNE, LL. D., M. D. Professeur d'Archéolog-ie à L'Université Laval- 1914, page 429 - http://www.astrosante.com/genealogie_autochtone.html

Soumis par Jean Claude Sa'n B.

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