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Histoire et origine de la famille Larocque

Noms de famille similaires: Larocque-Roquebrune , Laroque

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Mariages de la famille Larocque

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1743 Sainte-Anne-De-Bellevue, Qc












1760 Restigouche-Reserve-Indienne-Listuguj, Qc




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Pionniers de la famille Larocque

Guillaume Larocque est né vers 1682 à St-Orens, Marssac (aujourd'hui) Marssac-sur-Tarn, Languedoc (Tarn), en France. Fils d'Antoine et d'Anne Morel, il épouse Jeanne Boivin, fille de Michel Boivin et de Françoise Lorrain, le 21 mars 1717 à Montréal. Onze enfants naissent de leur union. Il est en Nouvelle-France vers 1707. Le 4 octobre 1707, il fait partie des malades de L'Hôtel-Dieu-de-Québec. Après son mariage, il s'établit à Chambly. Il décède le 14 décembre 1759 à Chambly.

Pionnier de la famille Larocque soumis par MesAieux.com

Soumis par MesAieux.com

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Quatre ancêtres sont les auteurs des familles Larocque au Canada et aux États-Unis. L'ancêtre des Larocque de Roquebrune, Philibert Couillaud est arrivé au Canada en 1665. L'écrivain et historien Robert de Roquebrune le dit être né en Gascogne tandis qu'un autre document parle plutôt du diocèse de Nevers. ---------------------------------------------------------------- Le second est Guillaume LaRocque dit Lafontaine dont les descendants se retrouve autour de Chambly. Il est originaire de Marssac-sur-Tarn près de la ville d'Albi ---------------------------------------------------------------- Un autre ancêtre Larocque, Antoine Larocque était originaire de la ville de Trie en France. Sa descendance est peu nombreuse. On compte parmi eux, des politiciens, et des explorateurs. ---------------------------------------------------------------- Le dernier, François Larocque, s'était établi en Acadie. L'historien Acadien Bona Arsenault le dit être de Normandie.

Soumis par Carole L.

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Le patronyme Larocque, sa signification Ernest Renan disait, " L'heure où une création nouvelle reçoit son nom est solennelle car le nom est le signe défini de l'existence. C'est par le nom qu'un être individuel ou collectif devient lui-même et sort d'un autre. Soyez fier de votre nom, c'est l'affirmation de vous même. Le nom de famille Larocque prend ses origines en Gascogne et dans le Sud-Ouest de la France en général entre la Rhône et les Pyrénées. Dans ce coin de France on retrouve plusieurs communes qui portent le nom de Laroque ou qui contient le mot Roque comme Roquelaure par exemple. Sur ce site WEB je nomme plus d'une douzaine de village portant notre nom. En Occitan le mot Roque se dit Ròca. Un livre de toponymie Gasconne (Bénédicte et Jean-Jacques Fénié) dit que le mot ròca désigne non seulement une roche ou un rocher mais aussi une hauteur rocheuse, fortifiée ou non. Les documents de l'époque écrits en gascon nomment nos ancêtres de la Roca tandis qu'en latin on parle de Ruppe qui signifie Roche. Nobili Johanni de Ruppe, domino dicti loci de Ruppe & de Ordano. Dans les environs d'Ordan Larroque, on rencontre des vestiges de tours Gallo-Romaines et c'est peut-être pourquoi on a donné le nom de Laroque à ce fief. Le mot Roque est probablement passé dans le français usuel dans le sens de tour fortifiée. Le dictionnaire étymologique des noms de famille et prénom de France (Albert Dayat, Larousse 1951) dit "que Laroque (Roche Roque) a désigné anciennement le château fort placé sur le rocher ou près du rocher d'où divers nom d'anciens fiefs, qui portent souvent le nom du fondateur." Le mot roque a pratiquement disparu de la langue française. On emploie encore le mot Roquer au jeu d'échec. Le mot Roque est passé à l'anglais pour nommer la tour au jeu d'échec, (the rook). Au Canada, le nom de famille Larocque s'écrit avec un "c", mais au début il s'écrivait LaRoque ou La Roque. On croit que ce sont les notaires et tabellions de la Nouvelle-France, originaires de Paris, qui ont ajouté cette lettre au nom La Roque. En fait, dans les registres paroissiaux, on rencontre plusieurs orthographes tel Roc, Rock, LaRoc, etc. Pour ce qui est de Roquebrune, ce nom vient d'une commune de Gascogne situé à quelques kilomètres au sud de la ville de Vic-Fézensac. C'est le mot roque avec un adjectif de couleur. Autrefois une autre ville aussi nommée Roquebrune faisait parti de la principauté de Monaco. Deux des quatre ancêtres Larocque Guillaume et Antoine sont originaires de la Gascogne. François, lui croit-on était de Normandie. Quand à Philibert Couillaud dit Roquebrune, l'ancêtre canadien du plus grand nombre de Larocque tout porte à croire qu'il serait de Nevers. Tout au long de sa vie d'adulte au Canada notre ancêtre n'a déclaré, que ce soit à un Notaire ou à un prêtre officiant un service religieux, qu'il portait le nom de Larocque. Philibert Couillaud dit Roquebrune déclare aussi à plusieurs reprises "ne scavoir signer". C'est à partir de la première génération de Canadiens que les enfants Couillaud dit Roquebrune adoptent le nom Larocque, ou Laroque et parfois Larocquebrune. Il resterait à savoir le pourquoi de cette décision. Plusieurs garderons le nom Roquebrune jusqu'au 20ème siècle pour finalement prendre le nom Larocque. Deux statistiques intéressantes tirées de l'annuaire Canada 411. Le premier est que près de 50% des Larocque vivent à l'extérieur du Québec. Deuxièmement, 97% des patronymes Larocque s'écrivent avec ou sans le C et sa version anglaise telle que Larock, ce qui laisse un maigre 3 % pour Roque, Roquebrune et les autres. Aucun Couillaud (ou ses variantes) se retrouve dans ce répertoire au Canada. Selon les statisticiens chaque nom d'une famille dans le 411 devrait être multiplié par 3, pour nous donner le nombre approximatif de gens portant ce nom au pays. Cela nous donnerait environ 15,000 personnes portant le patronyme LAROCQUE au Canada. Voir le tableau qui suit. (Mis à jour le 21 mars 2010)

Soumis par Carole L.

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Philibert Couillau dit Roquebrune était soldat au régiment de Carignan, compagnie de Contrecoeur. Après le licenciement de son régiment, il s'établit avec son capitaine dans ce qui est aujourd'hui la paroisse de Contrecoeur. En 1676, à Québec, il épousa Catherine de la Porte de Saint~Georges (2 ans au recensement de Montréal 1666), avait cinq enfants au recensement. Liste de ses enfants connus: + 1. Jean-Baptiste Couillaut (1677 - 1753) (de Catherine Laporte dite Saint-George) 2. Marie-Anne Couillaud (1681 - ) (de Catherine Laporte dite Saint-George) + 3. Antoine Larocque dit Couilleau (1683 - 1747) (de Catherine Laporte dite Saint-George) 4. Catherine Coujan (1685 - ) (de Catherine Laporte dite Saint-George) 5. François Couillaud (1686 - ) (de Catherine Laporte dite Saint-George) + 6. Louis Couillaud dit Rocbrune (1684 - ) (de Catherine Laporte dite Saint-George) 7. Marie-Barbe Couillaud (de Catherine Laporte dite Saint-George) 8. Philibert Couillaud (1699 - ) (de Catherine Laporte dite Saint-George) + 9. Marie Couillaud (1696 - 1725) (de Catherine Laporte dite Saint-George) 10. Michel Couillaud (1694 - ) (de Catherine Laporte dite Saint-George)

Soumis par Carole L.

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Pierre DUPOUEY 32350 Ordan-Larroque FRANCE Cher monsieur J'ai été très intéressé par les divers sites internet concernant les familles du nom de Larroque (ou Laroque, Larrocque, Larocque, ou de "de Larroque!') vivant au Canada ou aux USA. Je demeure en effet une partie de l'année à Ordan-Larroque, village de mon enfance et lieu d'origine de la famille de la Roque-Ordan1 dont il est longuement question dans vos textes. Je m'intéresse tout particulièrement à l'histoire de cette commune et des familles, nobles ou non, y ayant habité. De plus je suis natif de Vic-Fezensac dont il est question sur votre site, je connais la plupart des historiens travaillant sur la région, j'ai longuement fréquenté les Archives départementales et les Archives nationales à Paris. J'ai également eu accès à une partie des archives de la famille de La Roque-Ordan, conservées par les descendants. C'est à ces divers titres que je crois pouvoir me permettre d'intervenir auprès de vous. J'ai été en effet complètement consterné par la somme d'erreurs ou le manque de preuves documentaires que l'on peut constater dans tous les textes publiés sur ces familles canadiennes ou américaines. Ces erreurs, je désire amicalement les souligner, non pour attaquer ou démolir votre recherche, qui m'est personnellement sympathique, mais plutôt pour vous venir en aide et vous permettre de travailler sur des bases solides. J'ai l'impression que la construction concernant les familles nord-américaines du nom de la Roque tient de ces édifices intellectuels que l'on appelle « pyramides reposant sur la pointe ». Un auteur commet une erreur, deux la reprennent, puis quatre, puis huit et au terme d'un nombre suffisant d'étapes, l'erreur initiale est devenue vérité. Au début je me suis contenté de suivre vos recherches en me posant des questions mais aujoud'hui la diffusion grâce à Intemet et l'activité autour de ce sujet au Canada comme aux U.S.A, sont telles que je ne me sens plus le droit de me taire, pour la crédibilité de l'histoire de votre famille, pour la crédibilité d'Internet pour la crédibilité des recherches généalogique en Amérique du Nord et pour la crédibilité de l'histoire de la commune d'Ordan-Larroque. Je crois qu'il faut commencer par la base sur laquelle repose toute cette construction. Il s'agit de l'article de Pierre Gauthier paru dans Nova Francia (1929). L'Histoire est une science qui exige une grande rigueur en raison des nombreux pièges dans lesquels on peut tomber. Elle ne supporte notamment ni les extrapolations, ni les suppositions et exige la citation des sources et un retour constant aux documents originaux. Ces sources elles-mêmes doivent être analysées et critiquées avec une objectivité totale, sans être interprétées en faveur des hypothèses que l'on peut avoir en tête. Or Pierre Gauthier est tombé dans plusieurs de ces erreurs. Étant donné l'absence de références formelles à des documents précis (en dépit des apparences), son raisonnement semble exclusivement fondé sur des assimilations patronymiques sans aucune preuve documentaire. Comment procède-t-il ? Il part du nom Couillaud de la Roque de Roquebune. Il cherche autour d'Auch et il y découvre le soi-disant "village de La Roque", dans la commune d'Ordan. Puis Gauthier cherche un Roquebrune et pointe le doigt sur Roquebrune, près de Vic-Fezensac et, sans plus d'effort, établit la liaison. Nous glissons ainsi tout doucement des Couillaud de la Roque de Roquebrune aux de la Roque-Ordan et du même élan, les de la Roque-Ordan deviennent seigneurs de Roquebrune!!! Première remarque: bien que Larroque ait été, avant le milieu du XIXe siècle, chef lieu de paroisse et de commune, il y pas de village: un simple château, une église et un presbytère! Le nom est Larroque; La Roque est le nom de la famille noble possédant le fief. La seule autre source constamment citée est « une généalogie qui semble avoir été dressée au XVIIIe siècle [et qui] est en possession de l'un des descendants canadiens de cette famille » 2. Très bien! Voilà un document intéressant pour l'histoire des familles gasconnes. Où est-il? Quelle est cette famille ? S'il existe, qu'il soit publié pour que l'on puisse l'examiner et l'analyser! Examinons maintenant les faits: A) le problème des blasons On constate que le blason de Philibert Couillaud de la Roque ne contient aucun indice rappelant sa famille paternelle d'origine. C'est curieux, mais ce n'est pas inimaginable. Mais que sait-on du blason de Jean-Bernard et Georges de la Roque, ses père et grand-père ? B) Les problèmes généalogiques Je possède la généalogie de la famille de la Roque-Ordan. J'observe que celle que possédait un Canadien, selon P. Gauthier, est bien la même. A un important détail prés; ni Philibert ni son père Jean-Bernard n'apparaissent sur la généalogie que je possède. Par contre, il y a bien un Jean-Bernard de la Roque, né en 1524 de Manaud de la Roque et de Jeanne d'Esparbès et époux de Anne de l'Isle. Il pourrait donc avoir été le grand-oncle, et peut-être le parrain, de Philibert puisque, selon P. Gauthier, le frère de ce Jean-Bernard, Philippe de la Roque, serait le grand-père de Philibert . Mais, là encore, il faudrait le prouver documents à l'appui! A partir du mariage de Jean de la Roque et de Françoise d'Ambert, les données sont brouillées, alors qu'elles seraient précisément importantes à connaître sans ambiguïté. P. Gauthier cite un Pierre de Roquebrune, célibataire, donc sans descendance probable ou connue, présent en tant que témoin au testament de Françoise d'Amber, Gauthier ne donne pas la filiation de ce Pierre de la Roque de Roquebrune. D'après le texte, on pourrait supposer, qu'il est fils soit d'Armand de la Roque et de Bourgine de Bezolles, soit de Jean de la Roque et de Françoise d'Ambert. A en croire Gauthier, la possession du fief de Roquebrune serait donc ancienne dans la famille de la Roque. Curieusement Gauthier ne donne pas la date de ce testament mais on peut aisément le consulter car il a été publié par d'Hozier dans son célèbre Armorial général. Il est daté du 21.06.1517; le notaire est un nommé Nicolay Pancéri d'Auch dont les archives départementales du Gers ne possèdent apparemment pas les archives. Pierre de la Roque y est bien cité, non comme simple témoin, mais comme exécuteur testamentaire en compagnie d'un autre noble ordannais, Bernard de Benque d'Espujos 3 Or on constate avec effarement que, sur l'original Pierre de la Roque n'est nullement dit «de Roquebrune » « Exequtoirs vero […] ordinavit dicta testatrix videlicet nobiles Johannem de Signo, jurium licentiatium, Ber.dum de Benco, de Puyolibus & Petrum de Ruppe ibidem presentes » D'où Gauthier a-t-il donc tiré ce « de Roquebrune » ? De quel autre document qu'il ne cite pas? De son imagination? Bien curieusement ce Pierre de la Roque n'apparaît pas sur ma propre généalogie des de la Roque ni sur celle de d'Hozier! Pour la suite des générations, Roquebrune n'apparaît pas davantage, ni sur la généalogie que je possède, ni sur les documents que j'ai pu consulter chez les descendants des de la Roque-Ordan, ni sur la généalogie des de La Roque dressée par d'Hozier ! Par contre, ce nom réapparaît, chez le seul Gauthier avec Georges de la Roque, arrière-petit-fils de Jean de la Roque et de Françoise d'Ambert petit-fils de Manaud de la Roque et de Jeanne d'Esparbès et fils de Philippe de la Roque et de Mathurine de Bar d'Ylemade 4. Pour Gauthier, Georges est seigneur de Roquebrune. Il est le père de Jean-Bernard-Philippe de la Roque-Roquebrune, lui-même père de Philibert Couillaud de la Roque de Roquebrune. On serait donc, sans savoir pourquoi ni comment entré définitivement par la magie de P. Gauthier, dans la branche « de Roquebrune » de la famille des de la Roque-Ordan!!! Gauthier ne signale qu'une seule épouse de Georges de la Roque . Françoise de Ferrebouc (en fait il en eut deux). Françoise sortait d'une vieille famille noble dont le berceau était le château de Herrebouc (en langue gasconne F= H), sis à Saint-Jean-Poutge, à mi-chemin entre Ordan et Vic-Fezensac. Elle était fille du seigneur du Pouy dont le château existe toujours et est tout proche de celui des de la Roque-Ordan. De ce fait, Georges de la Roque devint, pour tous les autres auteurs (sauf pour Gauthier), seigneur du Pouy (et non de Roquebrune). D'après la généalogie en ma possession, Georges de la Roque eut 4 enfants: Jean-François, Bernard, Henrie et Madeleine. Bernard est-il le Philippe-Jean-Bernard, de Gauthier, père de Philibert ? En conclusion, je ne dis pas que le branchement des de la Roque-Ordan vers les «de la Roque de Roquebrune» soit radicalement et définitivement impossible, je dis simplement qu'il est bien loin d'être établi (pour le moins !). Il semble même contredit par de nombreuses données. Il convient donc de l'étayer fortement par des documents originaux (actes de naissance, contrats de mariage) et par des références bibliographique précises. Pour l'instant, je le tiens personnellement comme hautement improbable sinon purement imaginaire mais je ne demande qu'à être contredit documents à l'appui. Faut-il par exemple négliger la suggestion du Cercle généalogique du Gers qui, dans son bulletin n° 7 d'avril 1994, écrit, sous la signature du docteur Roger Bourse, à propos de Philibert Couillaud de la Roque: « Je regrette de ne pouvoir donner d'indications sur la branche paternelle de notre valeureux et courageux compatriote. Car on peut le qualifier de tel puisqu'il était natif d'Auch. Il était sans doute apparenté à Bernard de la Roque, dit Couillaud, qui fut à la fin du XVe siècle officier du comte d'Armagnac puis gouverneur de Carcassonne, Son fils Jean-François de la Roque, né vers 1500, probablement à Carcassonne, fut lieutenant général au Canada avant de tomber victime de sa foi protestante, au coin du cimetière des Innocents à Paris. Ce Jean-François était seigneur de Roberval en Picardie, du nom d'un fief amené dans la famille par sa grand-mère maternelle. » 5 Or, s'il est un fait certain, c'est que les de la Roque de Roberval n'ont rien à voir avec les de la Roque-Ordan. C) le problème de Roquebrune Le point principal à éclaircir est le cheminement du fief de Roquebrune. Lorsqu'il parle de Roquebrune, Gauthier désigne clairement le village de ce nom, près de Vic-Fezensac. La généalogie des de la Roque-Ordan ne me donnant aucune piste sérieuse, je me suis tourné vers diverses sources dont: les tables de la Société archéologique et historique du Gers (BSAG), un nobiliaire de Gascogne (Jean Vignau) et de nombreux autres ouvrages. J'ai par ailleurs pris contact avec deux historiens reconnus: un historien des familles nobles de Gascogne et un historien de la région de Vic-Fezensac. Je suis également entré en contact avec le comte Maxime d'Alton, descendant de la famille de la Roque-Ordan. Il a consulté les archives familiales qu'il possède, interrogé sa mémoire, et n'a trouvé mention du fief de Roquebrune, ni même du nom, dans aucun papier ! Lui-même n'a aucun souvenir de ce nom dans la famille, On lit sur Internet l'affirmation suivante: « le nom de Roquebrune a été porté en surnom par la famille provençale de Bonneaud à cause du mariage de Jeanne de LaRoque, fille de Jean de Laroque, seigneur de Roquebrune avec Louis de Bonneau, le 2 janvier 1510» 6 Le titre "de Roquebrune" aurait donc été cédé à un gendre sans cession concomitante du fief, et ce titre se serait ainsi pérennisé dans la descendance ?!! Difficile à croire! Ne s'agit-il pas plutôt de l'un de ces «de Roquebrune» provençaux épousant Jeanne de la Roque ? Je vais vous donner des pistes plus sérieuses, quoique tout aussi hypothétiques. En 1544, un certain Arnaud-Guillaume d'Auxion, sieur du Vivent avait épousé une nommée Candide de Boussens. Ils eurent un fils, Guillaume-Arnaud, qui se maria avec Lucrèce de Bar de Villemade (1576). Ces derniers eurent un fils, Philippe, qui, de son épouse Catherine de Brasac (1618), eut Henry d'Auxion de Vivent. Celui-ci, à son tour, épousa Philippe de Massas (1640) qui lui donna deux enfants, Jean-François et Ramond. En outre, le même Arnaud-Guillaume se remaria plusieurs fois: - En 1567, avec Marthe de Ferrabouc (ou Ferrebouc). (Je n'ai pas Marthe sur mes arbres généalogiques et je ne l'ai pas retrouvée ailleurs. J'ignore donc sa parenté avec Françoise de Ferrabouc ci-dessous, mais ce ne doit pas être trop difficile à trouver) - En 1572, avec Françoise de la Roque, tante de Georges de la Roque 3 . On voit que les d'Auxion du Vivent sont très près de la parentèle de Georges de la Roque du fait de leurs alliances avec les de Bar de Villemade, de Ferrabouc ou de la Roque. Or le Nobiliaire3 nous dit que François d'Auxion, fils d'Henry et de Philippe de Massas (probablement Jean-François ci-dessus, était en 1686, « sieur de Roquebrune ». La confusion viendrait-elle de là ? Il est vrai que Georges et Jean Bernard de la Roque, censés être grand-père et père de Philibert vivaient beaucoup plus tôt (1565-1650 pour Georges) alors que Philibert Couillaud de la Roque lui-même ne naît qu'en 1641 ! Le problème n'est donc pas résolu totalement d'autant que cela voudrait dire que, pendant longtemps, les d'Auxion du Vivent et les de la Roque de Roquebrune auraient été, coseigneurs de ce fief ? Nous sommes donc ici en présence d'une simple hypothèse restant à explorer. Robert de Roquebrune écrivait dans les deux lettres publiées sur minitel: « Le nom de Roquebrune a de tous temps appartenu à la famille laRoque. Ces deux noms de La Roque et de Roquebrune sont ceux de deux villages de l'Armagnac, province de Gascogne, en France et ces deux villages ont été seigneuries de ma famille dès le XIVe siècle. » Cette assertion est reprise sans mention de source dans le texte intitulé « Les la Roque de Roquebrune eu France et au Canada». Or cela est totalement faux pour ce qui est de la possession du fief de Roquebrune par les de la Roque-Ordan. Il est vrai également qu'il existe d'autres nobles d'Armagnac dits « de Roquebrune », par exemple Barri de Roquebrune et Caupenne de Roquebrune.7 Rien ne dit qu'il s'agit du village de Roquebrune plutôt que d'une quelconque « terre » portant ce nom. Les Auxion constituent seulement une voie de recherche en ce qui concerne le Roquebrune gascon. Malheureusement surgit aussitôt une autre énigme. Ici intervient en en effet une très curieuse information donnée par Gauthier, exacte mais mal rapportée et suivie d'une interprétation discutable. Jean et Pierre de La Roque auraient été baillis de Grasse et de Saint-Maximin ! Gauthier n'hésite pas et, sans donner aucune preuve de ce qu'il avance, fait de ce Pierre, bailli, le même individu que Pierre de la Roque, exécuteur testamentaire de Françoise d'Ambert et de Jean, le frère de Pierre et l'époux de Françoise d'Ambert!! En ce tout début du XVI' siècle (1504), la modeste famille des de la Roque-Ordan (elle ne prendra de l'importance que plus tard !) aurait donc rayonné de la Gascogne jusque sur la côte méditerranéenne, à près de 600 kilomètres de là, accessible par des chemins sûrement pas faciles à l'époque ?! Ils auraient parallèlement administré en Gascogne leur fief de Larroque, dont ils étaient seigneurs de plein exercice, et rempli une charge de bailli à Grasse sur les rives de la Méditerranée ? Cela n'est pas vraisemblable! J'ai pris contact avec les archives départementales des Bouches-du-Rhône auxquelles se réfère Gauthier à ce propos. Là encore, il est pris en flagrant délit d'approximation et d'interprétation abusive, sinon pire ! Gauthier écrit « Ou trouve dans les Archives du Parlement de Provence le serment prêté au roi en 1504 par Pierre de la Roque et Jean de La Roque de Roquebrune comme baillis de Grasse de Saint-Maximin». Le texte original donne les noms de « Pierre de la Roque, bailli de Saint-Maximin et de Jean de Roquebrune, juge de la ville de Grasse et du baillage de Saint-Paul ». C est tout à fait différent ! Et cette distorsion en faveur d’une thèse préconçue est encore une fois troublante. De plus, il existe, pas trop loin de ces villes, deux Roquebrune, eux aussi situés dans l'ancienne province de Provence, Roquebrune-sur-Argens (Var) et d’autre part, une simple « terre de Roquebrune ». Je me suis informé: sur aucun de ces deux lieux, des de la Roque ne figurent comme seigneurs. D) En plein brouillard! Voici quelques phrases trouvées dans les textes publiés sur internet : a) L’ascendance paternelle de Philibert Couillaud de la Roque de Roquebrune est à rechercher dans la famille des de la Roque Ordan et ces derniers furent seigneurs de Roquebrune. Fort bien. Mais alors pourquoi aucune des généalogies des comtes de la Roque-Ordan ne mentionne-t-elle Philibert Couillaud de la Roque ou le fief de Roquebrune ?? Pourquoi Philibert Couillaud ne fait-il mention de son nom « de la Roque » dans aucun des papiers notariaux ou religieux le concernant si on en crois l'article intitulé « La noblesse de Philibert Couillaud; vérité ou mythe ? » Pourquoi, dans l'acte de confirmation de Philibert, publié par ailleurs sur le Net, ne se nomme-t-il que Couillaud alors que le nom « de la Roque » l'eût rattaché à une noble alliance à laquelle on renonçait difficilement à l'époque ? Pourquoi fait-il de même dans l'acte notarié du 27 septembre 1667 passé à Bénigne Basset se faisant simplement appeler Rocbrune? 8 Cet article, «La noblesse de Philibert Couillaud; vérité ou mythe ?», a au moins l'avantage implicite de montrer qu’il existe, en Amérique du Nord, quelques personnes qui n’oublient pas que la véritable généalogie est une science annexe de l’histoire et que cette dernière connaît des lois comme, par exemple, la citation des sources et la critique des textes. b) Philibert Couillaud de la Roque est né à Auch en 1641. Comment se fait-il alors qu’il ne figure pas sur les actes de naissance des paroisses de Sainte-Marie-d'Auch ou de Saint-Orens de cette année-là et des années voisines, publiés dans l'inventaire de la série GG des Archives départementales du Gers ? La date de 1641 est simplement déduite du fait qu’il est déclaré avoir 40 ans en 1681; or quiconque a tant soit peu fréquente les actes notariés ou l’état-civil sait pertinemment que, jusqu’au XIXe siècle, les âges donnés sont très approximatifs. Je suis allé voir les actes originaux des deux paroisses. Malheureusement l’écriture en est très difficile, les actes sont tachés, déchirés et ils ne peuvent être consultés que sur de très mauvais microfilms. J’en ai consulté pas mal pour les années possibles autour de 1641: sans succès. Puis j'avoue avoir renoncé à perdre mon temps en de difficiles déchiffrages alors que l’hypothèse de départ est des plus suspectes. Est-il même né à Auch? Quel document d’archive le dit ? Pourquoi s'il est né à Auch, est-il dit dans son acte de confirmation du 21 mai 1669 « du diocèse de Nevers » ? Il avait 28 ans à l 'époque, il devait donc connaître et la totalité de ses titres et son diocèse de naissance ! c) Il porta fièrement le surnom patronyme de sa grand-mère maternelle, Charlotte de Couillaud de Hauteclair. Pourquoi pas ? Mais alors pourquoi existe-t-il déjà, 150 [ans] auparavant un Bernard de la Roque de Roberval dont l’un des articles sur le Net dit qu’il était qualifié gaillardement de Couillaud ! Je doute fort d'ailleurs qu’il s'agisse d'une gaillardise ! J'y verrais plutôt le nom d'un fief. Quel noble de l'époque, en effet eût accepté de porter fièrement le nom de "Bernard Gros Testicule de la Roque" , pour s'exprimer plus académiquement 9? C’est probablement là encore, une extrapolation gratuite ; sinon: citez le document ! Il va sans dire que les de la Roque de Roberval n’ont absolument rien à voir avec les de la Roque-Ordan. E) Texte sur minitel intitulé « les LaRoque de Roquebrune en France» Outre le fait que ce texte accepte, sans plus de vérification, les conclusions de P.Gauthier concernant les liens entre les de la Roque Ordan et les Laroque de Roquebrune, voici quelques erreurs que l'on peut y relever: a) Le 20 mai 1409 un certain messire de Bernard prêta « Foi et hommage » au comte d'Armagnac et devint alors Seigneur du fief de LaRoque et ainsi légua son nom à ses nombreux descendants français et canadiens. Les de La Roque étaient seigneurs de Larroque bien avant 1409. L'un d’eux, Arnaud de la Roque est témoin d’un acte en 1188 (Cartulaire noir de Sainte-Marie d’Auch). En 1258, un Martinus de la Roque est également témoin. Leur généalogie connue débute en 1280 et en 1339, Amand ou Armand de la Roque répond du serment de Jean d’Armagnac (Archives nationales, J 293(9)).. Le geste du 20 mai 1409 n’est qu’un renouvellement d'hommage tout à fait classique et non un acte fondateur. b) Le fils de Bernard [était] Arnaud de Larroque […] On ignore le nom de son épouse. Son fils Armand prit la relève de son père. Nous connaissons deux autres enfants, Arnaud Bernard et Catherine. Il n'y a pas, à ma connaissance, d'Arnaud interposé, Le fils de Bernard de la Roque (1380-1455) était Armand de la Roque. Il vécut de 1425 à 1498 (cf. l'Armorial général d’Hozier, information tirée aussi des archives de la famille de la Roque-Ordan). Son épouse était effectivement Bourgine de Bezolles. c) Les deux bourgs de La Roque de de Roquebrune étaient en ruine. [au terme des guerres de religion] D'abord, Manaud de la Roque ne se battit pas contre « les hérétiques tels les Huguenots » mais contre les Huguenots tout court. Il n’est pas sûr du tout que la fortune de la famille fut si « grandement diminuée » que cela, même si elle fut un peu écornée (où sont les documents ?). Les de la Roque, comme tous les chefs de troupe de l'époque, imposaient le payement de fortes sommes aux villes et villages du secteur, soit pour les frais de logement des troupes, soit au contraire, pour qu’ils soient exemptés de logement ! Une bonne partie devait probablement tomber dans leur escarcelle. Par ailleurs, je ne sais ce qu’il advint de Roquebrune (où sont les preuves de sa ruine ? ). Le « bourg de la Roque », quant à lui, ne pouvait être en ruine car il n’y avait pas de bourg. Le peu qu’il y avait, château et église, étaient toujours debout au terme du conflit. Le château de la Roque, dit Internet fut occupé par les troupes protestantes et la famille de la Roque se réfugia à Auch. Où est la référence au document original disant cela et auquel je pourrais me reporter ? Il m’intéresserait beaucoup ! Je ne possède rien qui affirme que la famille de la Roque ait quitté le château à cette époque. Au contraire: en plein conflit en 1642, Mlle de la Roque y habite toujours et elle envoie, de là, un message aux consuls d'Auch pour les avertir que le chef protestant Montgomery campe à Ordan. d) George de LaRoque hérita de la seigneurie de Roquebrune Voir plus haut pages 1 à 3, les questions que cela pose. Documents ?? e) La lignée de la Roque en France s’arrête au comte Marc-Henrie de La Roque n’ayant eu que 5 filles. […]Après la mort de monsieur le comte de la Roque, le domaine fut vendu à monsieur le comte Danton, descendant de Georges Jacques Danton haut personnage de la révolution Française. Les de la Roque-Ordan ont dû se retourner dans leur tombe, toutes générations confondues, à l'annonce de cette nouvelle !! Heureusement pour eux, il n’en est rien. Le château ne fut pas vendu et Danton, le révolutionnaire, n’a rien à voir dans cette histoire ! C est le comte D'ALTON qui épousa tout simplement Antoinette, l’une des 5 filles du comte de la Roque. En 1915 ou 1916, la vicomtesse de la Roque vendit effectivement le château et la propriété à son petit-fils, James d’Alton. Par ailleurs, le dernier comte de la Roque-Ordan ne s'appelait pas Marc-Henrie mais Henri-Marie. f) Aux environs d’Ordans-Larroque, on peut remarquer les vestiges de piles Gallo-Romaines ou pilliers de roche qui tout probablement donnèrent le nom à ce village. La commune d’Ordan-Larroque a été constituée au XIXe siècle par la réunion de 4 communes autrefois indépendantes : Ordan, Meilhan, Ardenne et Larroque. Lors de la fusion, les comtes de la Roque-Ordan ont obtenu que le nom de Larroque soit conservé, d’où le nom d'Ordan-Larroque. Quant au nom de Larroque, il ne doit absolument rien aux piles gallo-romaines bien qu’il y en ait trois de connues dans la commune. Ces « pilliers de roche » sont des « monuments funéraires construit de pierres calcaires ». On les désigne en Gascogne (où elles sont exclusivement localisées) par les appellations de « turret », « las turettes », « peyrelongue », jamais « roques » ou « larroque ». Il s'agit là encore, d’une supputation abusive avancée sans aucun fondement. « Roque » est ici employé pour « lieu fortifié, ». A noter d’ailleurs que, si le rocher (roca) peut être sous jacent il, apparaît pas au niveau du château de Larroque, contrairement à bien d'autres points dans la commune d'Ordan. g) Les Laroque de France : des vacances en Gascogne. Cette page publicitaire en faveur de l'bôtel-restaurant du Cbâtau de Larroque et d’un château producteur de vins est publiée sans dire que ces châteaux, fort éloignés d’Ordan-Larroque, n’ont rien à voir avec la famille de la Roque-Ordan et donc avec les Laroque du Canada ou des U.S.A ! (tout en reconnaissant que le restaurant est agréable et que qu’on y mange bien!) En me donnant le mal de recueillir toutes ces informations, d'éplucher tous ces textes, en dépit de très nombreuses et très prenantes autres occupations, je n’ai eu d’autre but que de venir en aide aux nombreux La Roque d’Amérique du Nord. Ayant enseigné un trop bref laps de temps aux universités de Montréal et de Sherbrooke, j’ai beaucoup de sympathie pour nos "cousins québéquois". J’espère qu’ils recevront favorablement mes observations. Je crois que le temps est venu de réviser totalement les méthodes, de mettre réellement en cause les apparents acquis (dont certains sont peut-être vrais !) et de repartir ainsi sur des bases plus saines. Jose espérer que vous désirez contruire une vraie histoire familiale et non un conte fabuleux, aussi beau soit-il. Je suis un peu pessimiste car cela exigera des révisions déchirantes et je pense que, comme le dit l'un de vos auteurs, « aucun ne voudrait nier une tel lignée ». Espérons qu’il ne s'agira pas de le renier, mais de le fonder solidement. Mes amitiés franco-québéquoises, et bonne chance! Pierre DUPOUEY 1. J'utiliserai dans ma lettre l'appellation de « la Roque-Ordan » bien que « Ordan » ou « d'Ordan» ne fût ajouté qu'assez tard au nom des de la Roque. Je procède aunsi pour distingguer cette famille des autres « de la Roque » dont il pourrait être question dans le texte. Par ailleurs, je m'étonne de l'écriture « LaRoque » que vout utilisez souvent alors que l'on écrit en France La Roque en deux mots, ou Larroque, Laroque en sun seul mot. D'autre part, les généalogistes qui ont oeuvré sur ces familles en Amérique du Nord nes semblent pas avoir conscience du fait que Larroque, La Roque, etc. sont des toponymes et des patronymes extrêment répendus en France et qu'il serait vain, sauf preuves formelles, de chercher des parentés entre elles. Rien que sur Paris on comte 3 Larocque, 40 Laroque, 61 Larroque, 10 Delarocque ou de Larocque, 3 Delaroque, et cela doit être pareil dans toutes les grandes villes française, principalement au sud de la Loire. 2. in " Les laRoque de Roquebrune en France et au Canada" 3. Le château d'espujos existe toujours en Ordan 4. Aussi Hillemade, Villemade. Cf. jean Vignau: Nobiliaire des Généralités de Montauban et d'Auch et du pays de Foix ., tome I. Rubriques « de Bar» et » d'Auxion » 5. Une photocopie de ce texte a été envoyé à M. Jacques Larocque, habitant Rimouski, au Québec, en 1999, par les Archives départementales du Gers mais la référence qui accompagnait cet envoi était fausse quant à la revue en question: il s'agissait du bulletin du Cercle généalogique du Gers et non du Bulletin de la Société archéologique. 6. in " Les laRoque de Roquebrune en France et au Canada" 7. Montlezun: Histoinre de la Gascogne: Supplément. 8. in (Site WEB familles Larocque) "Histoire de notre Ancêtre Philibert Couillaud dit Roquebrune" 9. Couillard, Couillaud: qui a de gros testicules ! Census Records | Vital Records | Family Trees & Communities | Immigration Records | Military Records

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Tant qu'a mon ancètre Philibert Couillau dit Rocquebrune, il y a des polémiques à son sujet. Selon certains il serait descendants d'une famille noble de la région et lui-même déclare être de Nevers lors d'une confirmation à Chambly. Personnellement, je préfère de Nevers, vu qu'il à lui même fait cette déclaration, je comprend le désir de bien des descendants qu'il soit noble, mais je ne crois pas qu'il aurait été simple soldat, s'il avait été noble. Je sais qu'il était soldat dans le régiment de Carignan-Salières suite à des recherches. Certains personnes qui étaient dans le régiment de Carignan-Salières sont restés en Nouvelle France, d'autres sont retournés en France. Comme beaucoup d'immigrants, le surnom de notre ancètre est devenu notre nom de famille, qui aurait du être en réalité Couillau et non Larocque. ***************************************************************************************************************************************************** As has my ancestor Philibert Couillau Rocquebrune said, there are controversies about it. Some would be descendants of a noble family in the area and himself declares to be Nevers at a confirmation in Chambly. Personally, I prefer to Nevers, as it in itself made ​​this statement, I understand the desire of many descendants it is noble, but I do not think it would have been simple soldier, had it been noble. I know he was a soldier in the Carignan-Salt diligent search. Some people who were in the Carignan-Salt remained in New France, others returned to France. Like many immigrants, the nickname of our ancestor became our name, which should have been actually Couillau not Larocque.

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Origine du nom de famille Larocque

LAROQUE/LAROCQUE - surnom donné à celui qui habite à proximité de la forteresse (sur un pic rocheux) ou qui y travaille.

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LAROCQUE - soit l'agglutination de La Rocque, le nom de plusieurs localités dans différentes régions de la France, ou encore, altération de Rocquebrune, un surnom de soldat.

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Je souhaite la bienvenue à tous les descendants des quatre ancêtres Larocque (Laroque, LaRocque, Roque, Roch, Roc, Roquebrune, LaRock, Rockbrune, Rockbrun, Roburn, et Célerier dit Roque ainsi que le patronyme Larroque, nom aussi donné à plusieurs villes et villages du sud de la France) ainsi qu'à tous ceux que l'histoire de cette famille intéresse. Le Grand-Livre des familles Larocque a pour but de répondre aux questions que vous avez au sujet de cette famille. On y raconte l'histoire de chacune des quatre familles Larocque, à partir du premier ancêtre respectif. Le site est divisé en cinq sections. Section 1. Textes d'intérêt général (sur cette même page). Section 2. L'ancêtre Philibert Couillaud dit Roquebrune. Section 3. L'ancêtre Antoine Larocque. Section 4. L'ancêtre François Larocque. Section 5. L'ancêtre Guillaume LaRocque dit Lafontaine.

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Plaque commémorative à l'hommage des pionniers de Contrecoeur. Antoine Pécaudy de Contrecoeur & Barbe Denis Philibert Couillaud dit Roquebrune & Catherine Laporte dit St-Georges Jean Brunel de la Sablonnière & Marie Madeleine Richaume Jean Masseault dit St-Martin & Anne Michel Jean Gazaille & Jeanne Tougé Antoine Emery dit Coderre & Marie Desvaux Noël Laurence & Élizabeth Bertault Pierre Carrot & Marie Benoist Joseph Leplein & Madelaine Vallée Eustache Provost & Élizabeth Guertin Jeau Coiteu dit St-Jean & Marie Thérèse Petit Pierre Handgrave dit Champagne & Marie Guertin Nicolas Bonin Jean Fayolle Ces quatorze foyers comptaient 69 personnes au Recensement de 1681 Commission du Troisième Centenaire

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http://freepages.genealogy.rootsweb.ancestry.com/~louislarocque/laroc1f.htm Site généalogique pourla famille LAROCQUE, LAROCQUEBRUNE, ETC...

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Variation du nom Couillau dit Rocquebrune: Laroquebrune, Larocquebrune, Larocque, Laroque, LaRocque, LaRoque, Larocq, Larock, Laroc, Larok, Roc, Roch, Roque, Carle, Couillau, Lafontaine, Gachiniac et Vachiniac

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Personnalités célèbres de la famille Larocque

Abbé Évangéliste Larocque, Évangéliste Larocque est né, à Sainte-Hélène, le 28 février 1888. Il est le fils d'Hormidas Larocque et de Cordélie Beaudoin. Il fait ses études classique au Séminaire de Saint-Hyacinthe de 1900 à 1908 et sa théologie au Grand Séminaire de Montréal de 1908 à 1912. Il est ordonné prêtre à la Cathédrale de Saint-Hyacinthe, le 25 juillet 1912, par Mgr Alexis-Xyste Bernard. Il est professeur au Séminaire de Saint-Hyacinthe en 1912-1913, vicaire à Acton-Vale de 1913 à 1915, à Farnham de 1915 à 1917, à Saint-Denissur-Richelieu de 1917 à 1919, à Saint-Nazaire en 1919-1920, au diocèse de Burlington de 1920 à 1923, à Notre-Dame de Sorel de 1923 à 1926, curé de Dunham de 1926 à 1933, de Sainte-Victoire de 1933 à 1944, de Saint-Robert de 1944 à 1951 et de Saint-Paul d'Abbotsford de 1951 à 1962. Il se retire à Granby en 1962 et décède le 31 août 1974. Il est inhumé dans la crypte du Séminaire de Saint-Hyacinthe.

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http://freepages.genealogy.rootsweb.ancestry.com/~louislarocque/canada.htm Plusieurs personnalités LAROCQUE, ROCKBRUN , SUR CETTE PAGE.

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Dernière mise à jour: 2023-10-10

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