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Histoire et origine de la famille Lafon

Noms de famille similaires: Lafond , Lafont , Lafontaine

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Mariages de la famille Lafon

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1738 Sainte-Genevieve-De-Batiscan, Qc

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Pionniers de la famille Lafon

Étienne Lafond est né vers 1615 à St-Laurent-de-la-barrière, Saintes, Charente-Maritime, en France. Fils de Pierre Lafond et Françoise Prieur, il épouse Marie Boucher, fille de Gaspard et Nicole Lemaire, le 30 janvier 1645 à Québec. De cette union naissent 8 enfants. Arrivé au pays vers 1642 en tant que domestique des Ursulines, il s’installe à Trois-Rivières après son mariage. Il y demeure jusqu’à son décès, survenu subitement le 15 septembre 1665.

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Pierre Lafond est né vers 1711 à St-Malo, Ille-et-Vilaine, en France. Fils de Pierre Lafond et de Michelle Marier, il épouse Marie-Madeleine Larrivé, fille de Jacques et de Michelle-Marguerite Maurice le 12 août 1732 à Québec. De cette union naît 1 enfant. Devenu veuf le 13 décembre 1735, il épouse Marie-Angélique Duchaineau, fille de René et de Marie-Jeanne Guérin le 12 janvier 1739 à Charlesbourg. De cette union naissent 9 enfants, dont 5 décèdent avant l'âge de 5 ans. Il s'établit à Charlesbourg, où il demeure jusqu'à son décès, survenu le 15 mars 1756. Il est inhumé le même jour.

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Fils de Pierre Lafond et de FrançoisePrieur Né à St-Laurent-de-la-Barrière, ar.St-Jean-d'Angély, év.Xaintes, Saintonge (Charente-Maritime) Cité ct piraubé le 07-12 1642, à Québec, domestique des Ursulines; Charpentier; concession de l'arrière-fief de Lafond (ou de Lapierre) au Cap-de-la-Madeleine le 10-08-1655, hérité par Charles LeSieur. Né à St-Laurent-de-la-Barrière, ar.St-Jean-d'Angély, év.Xaintes, Saintonge (Charente-Maritime), il épouse à Québec, le lundi 30 janvier 1645, Marie Boucher, baptisée à Notre-Dame de Mortargne-au- Perche, le lundi 22 janvier 1629. Fils de pierre de Lafond et de François Prieur, de Saint-Laurent-de-la-Barrière, fille de Gaspard Boucher et de Nicole Lemaire. De leur union naissent huit enfants. Ref: René Jetté Il est domestique des Ursulines à Québec le 7 décembre 1642, quand il achète à l'encan quelques effets de feu Jean Joliet, c'est-à-dire : Un vieil habit de satine rouge, un pourpoint, des chausse et bas et sept mouchoirs. Au terme de son engagement envers les Ursulines, il s'engage pour un an envers Noël Langlois, à raison de 120 livres et une paire de souliers neufs. On le retrouve à Trois-Rivières le 21 novembre 1645, témoin au procès entre Michel Leneuf du Hérisson et Sébastien Dodier. Il s'établit à Trois-Rivières où il reçoit de la compagnie de la Nouvelle-France un emplacement de vingt-cinq toises en superficie au bas du coteau du Fort. Il travaille comme charpentier. Les Jésuites lui concèdent une terre de deux arpents de front par vingt arpents de profondeur . Le 23 septembre 1649, Pierre Albert s'engage pour un an à son service au salaire de 125 livres. La compagnie de la Nouvelle-France lui concède un emplacement de douze toises de front par vingt toises de profondeur dans l'enclos du bourg de Trois-Rivières, le 3 juillet 1651. Il lui reste à payer 607 livres à Martin Grouvel, le 5 octobre 1652, sur une plus grande obligation contractée à son égard, il loue pour six ans, moyennant la moitie des grains, une terre de vingt-cinq arpents à Mathurin Goyer dit Laviolette. Au terme de son engagement Goyer lui remettra dix minots de blé, treize minots de pois et un minot et demi d'avoine qui ont servi à ensemencer la terre au moment où en a pris le bail. Le10 août 1655, les Jésuites lui concèdent un fief de dix lieues de front par un quart de lieue de profondeur au-dessus de la rivière de la Madeleine. Il se présente à maintes reprises au bailliage de Trois-Rivières. Ainsi, Le 27 novembre 1655, il demande que Barthélémy Bertau soit fidèle au marché passé avec lui pour défricher deux arpents de sa terre. Il a gain de cause. Bertau devra remplir son marché sinon il payera 30 livres en dédommagement. Le 15 janvier 1656, Jean Cusson lui réclame sa part sur un grappin de chaloupe et d'autres effets qu'ils ont trouvés dans les îles du Richelieu. Il devra partager. Il Réclame 10 livres à Nicolas Gaillou pour un canot qu'il lui a prêter et qui est perdu. Gaillou lui réclame la même somme qu'il lui a prêtée. Il payera les 10 livres et Gaillou lui remettra le canot. Le 22 septembre, il demande des intérêts à Baptiste Bourgery qui a maltraité son fils et lui a tué un cochon. Il doit faire la preuve de ses prétentions. Nicolas Gatineau Duplessis le poursuit, le 19 novembre 1661, pour des dommages causés par ses animaux dans son champ de blé d'inde. Il répond qu'il n'y avait plus de blé d'inde. On lui ordonne de produire des témoins. Suite à une entente avec Jacques Besnard, il lui fournit treize journées de travail contre autant de journées de harnois. Besnard ne remplir pas son contrat. Il lui réclame neuf journées, le 2 juin 1663, Besnard est condamné à lui en fournir cinq. Il revient à la charge contre ce même Besnard, le 23 juin 1663. Ce dernier devra lui payer trois journées de travail.I ltravaille à l'église en 1664 et réclame du marguillier Louis Pinard ce qui lui est dû pour son travaille, le 22 juin 1664. Pierre Couc lui loue une terre de deux arpents par quarante arpents, au chenal de Trois-Rivières, le 4 mars 1662, pour cinq ans et cinq récoltes, moyennant cinquante minots de blé par année. Il passe un marché de construction d’une maison pour le sieur Gamelin, le 7 août 1663. Il s’engage à lui construire une maison sur le bord de la rivière Favel, semblable à celle qui se trouve au réduit du moulin à vent du sieur Gamelin. Il reçoit en retour cette maison du réduit du moulin à vent et 110 livres tournois. Le 13 septembre de cette même année, le Jésuites lui concède une terre d’un arpent de front au bord du dernier chenal de Trois -Rivières. Le 18 octobre 1664, il vend à François Duclos sa maison proche du fort Saint-François, voisine des habitations de Nicolas Gaillou et de Nicolas Gatineau, au prix de 20 écus. Duclos promet de rembourser moitié en farine et moitié en blé. Le 13 décembre 1664, il s’engage à fabriquer un bateau de vingt-six pieds de longueur, pour le prix de 50 livres, pour le sieur Nicolas Gatineau. Il décède subitement à Trois-Rivières et y est inhumé le 15 septembre 1665. Requête de Antoine Trottier, habitant demeurant à Batiscan, demandeur, à l'encontre de Étienne Lafond, habitant demeurant audit Batiscan, défendeur. Le demandeur affirme que le défendeur a pris quantité de bois de chauffage, de charpente et de pieux sur sa concession. Il a avertit ledit Lafond qui lui a remis les cordes de bois de chauffage mais il refuse de remettre lesdits pieux ainsi que le bois de charpente. Le défendeur répond qu'il s'est aperçu qu'il a pris les pieux au-delà de la ligne qui borne la concession et que le bois de charpente a été pris sur 10 pièces de bois gâtées dont 4 lui auraient été laissées par le sieur Trottier. Le défendeur est condamné à payer audit demandeur la somme de 6 livres pour les 6 pièces de bois de charpente . - Ref: Michel Langlois, Dictionnaire Biographique des ancêtres Québécois,1608-1700, p. 92-93

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Origine du nom de famille Lafon

LAFOND - du latin 'fons' qui signifie source, surnom donné à celui qui habite près d'une source.

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LAFOND – Agglutination de « La Fond », nom de plusieurs localités en France.

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Lafond En latin, source se dit fons, dont l’adjectif est fontana devenu le nom fontaine. Précédé de l’article ou accompagné d’un adjectif fons a légué Font, Lafond, Delafond, Defond…  

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Personnalités célèbres de la famille Lafon

Pour l'instant, aucun texte n'a été soumis pour cette famille.


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Dernière mise à jour: 2023-10-10

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