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Histoire et origine de la famille Evers

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Mariages de la famille Evers

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1925 Saint-Pierre-De-Broughton, Qc







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Pionniers de la famille Evers

Joseph Evers, fils de Pierre Evers et Rosalie Vaahan, serait venu de la Belgique pour s'établir au Québec vers la fin du 19e siècle. Il a marié en 1905 à Rivière-Du-Loup Dorilda Guéret (Guérette), fille de Siméon Guéret et de Tharsile Lavoie. Une bonne partie de sa descendance a prit racine dans la région de Chaudière-Appalaches et se trouve aujourd'hui un peu partout au Québec et au Nouveau-Brunswick.

Soumis par Pouet P.

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Please find below some information from the "Société de Généalogie de QUÉBEC (contact person Jean-Claude ROY)" : "Joseph EVERS est venu s'établir dans la Belle Province, fin du 19ième, début du 20ième siècle. Joseph EVERS, fils majeur de Pierre EVERS et de Rosalie VAAHAN, a épousé Dorilda GUÉRET (GUÉRETTE), fille de Simon GUÉRET et de Tharsyle LAVOIE, le 16 mai 1905 à la paroisse St-Patrice de Rivière-du-Loup, province de Québec. On le dit originaire de Louvain, Belgique. (Source: Registres de la paroisse St-Patrice). Quant à sa date de naissance, puisqu'il est majeur lors de son mariage, il a donc au moins 21 ans; il est donc né au plus tard vers 1884, probablement avant cette année-là. Je ne peux déterminer plus précisement sa date de naissance. Je n'ai pas non plus les documents pour trouver son ascendance. Il existe sûrement des Sociétés ou Clubs de Généalogie belges qui pourront vous renseigner à ce sujet. Par contre, il a laissé une nombreuse descendance ici au Québec et probablement aussi en Ontario, au moins 9 enfants, de nombreux petits-enfants et arrière-petits-enfants. L'épouse de Joseph, Dorilda Guéret, est probablement une Indienne de la tribu des Malécites. Cette bande d'Indiens a déjà habité dans la région de Rivière-du-Loup. Encore aujourd'hui des familles Guéret dit Dumont de sang indien habitent la région du Bas-du-Fleuve, rive-sud du fleuve St-Laurent."

Soumis par Marielle R.

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Mariage à Rivière Du Loup le 16 mai 1905 Joseph Evers (21ans ?) & Dérilda Guérette (15ans ?) (?-??-1874 à 27-03-1962) (??-??-1890 à 31-12-1970) 88ans ? 80ans? 16enfants dont 9 survivants 1906-Siméon né à Rivière du Loup le 6-05-1906 1*-mariage en 1925 à Généria Corriveau à 19ans et divorce le ?? 2*-mariage le 18-08-1870 à Mary Sylvaine Alphéa Boudreault ,(veuve née le 15 aout 1920à Sawyrville? ) à l’église Baptiste deSchefferville de Sept-Iles lui a 64ans et elle 50 ans. Du 1*mariage ils ont eu 8enfants : Irène, Marie-Paule, Madeleine, Rita, Carmen, Huguette, René, Françoise.(Jean-Louis Evers dit aussi Gérard ) 1908-Alphonse marié le 17-02-1931 à Rolande Lapierre à St-Désiré du Lac noir à Black Lake comté Mégantic lui 23ans elle 17ans de St- Adrien d’Irlande. Ils ont eu ? enfants (Gaby,…………………….) lui journalier elle ménagère Alphonse Né à New ??? 1910-Marie-Rose mariée le 27-06-1932 à Albert Guérard à église de Ste-Thérèse de l’Enfant-Jésus De St-Édouard de Lotbinière, lui 28ans cultivateur de de St-Adrien d’Irlande elle 22ans ménagère. Ils ont eu 2enfants :Clément ,Thérèse. 1911-Léopold né le 19mai 1911. marié le 26-06- 1939 à Antoinette Boucher (née le 8juin1914) à St-Janvier de Joly de Lotbinière sous la fabrique de St-Édouard lui 28ans elle 25 ans. Léopold dcd d’un cancer du poumon ou gorge, le 24janvier1980.Antoinette dcd d’un problème cardiaque amenant à un long coma et paralysie, le 25décembre1980. Ils ont eu ? enfants dont 09 survivants : Eddy(dcd), Jean-Louis, Carmelle, Murielle, Marcel, Jean-Claude(dcd), Jean, Réal, Jeannette, Lucie (jumelle dcd), Ginette. 1912-Albert né à St-Honoré de Témiscouata marié le 31-12-1940 à Corrine Boucher à St-Janvier de Joly sous la fabrique de St-Édouard de Lotbinière lui 28 ans elle 23 ans. Albert a travaillé longtemps pour une compagnie de chemin de fer. Albert dcd d’un cancer du poumon. Corrine d’un trouble cardiaque dont elle a souffert toute sa vie. Ils ont eu 3 enfants : Gaston, Guertin, Gérald. 1915-Jeanne mariée le 27-12-1939 à Florian Gaumont à St-Janvier de Joly sous la fabrique de St-Édouard lui de Joly 31 ou 36 ans elle 24 ans.Jeanne est dcd des suites du diabète. Ils ont adopté un enfant : Michel. 1917-Alfred marié le 25-11-1947 à Madeleine Lemay couturière à St-Flavien de Lotbinière . lui 31 ans elle 30ans. Alfred est dcd des suites du diàbète. Madeleine dcdée le 9mai 2008 à Drummondville Ils ont eu 2 enfants :Jean-Pierre(Pierrette? et Jacqueline.(Robert Gagnon) 1918-Pauline mariée le 09-11-1940 à Joseph Isabelle, elle a 22ans. Ils n’ont pas eu d’enfants. Elle demande à 3 reprises de rénover sa maison et la 3* fois elle fait installer un ascenseur ils vivent au 2* et reçoivent au premier. Et l’ascenseur brise et Pauline se blesse et reste paralysée et en chaise roulante jusqu’à la fin de ses jours. 1920-Bertha mariée le 02-07-1955 à Camil Bilodeau, elle a 35ans. Ils ont eu 2enfants : Louise (dcd), Marjolaine.

Soumis par Marielle R.

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Sources complémentaires: Joseph Evers est né en 1883 à Louvain (Leuven), province de Brabant en Belgique. D’origine flamande, il est le fils de Pierre Evers né en 1827 à Opvelt, Belgique et de Rosalie Vanham (et non pas Vaahan), née en 1848 à Bierbeek, Belgique. Ils habitaient au 21 rue des Flamands à Louvain au moment de la naissance de leurs enfants Joseph (1883), Louis-François (1888) et Marie Christine (1890). À la naissance de Joseph, son père Pierre (journalier) était âgé de 56 ans et sa mère Rosalie (ménagère) était âgée de 35 ans. Joseph Evers émigre au Québec au début des années 1900.La lignée québécoise des Evers prit naissance lorsque Joseph Evers épousa Dérilda Guérette (Guéret)le 16 mai 1905 à Saint-Patrice de Rivière-du-Loup. L'on retrouve plusieurs de leur descendance au Québec, au Nouveau-Brunswick et au États-Unis.

Soumis par Alain B.

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Personnalités célèbres de la famille Evers

EVERS (Charles-JOSEPH, baron), né le 8 mai 1773 à Bruxelles, Belgique, entra au service de France le 15 juillet 1792 en qualité de lieutenant dans le 1er bataillon de chasseurs belges, et fut fait capitaine au 2e bataillon le 1er septembre suivant. Le 6 du même mois, ayant reçu l'ordre de passer la Lys à la nage, il fut blessé d'un coup de sabre sur la tête et d'un coup de feu à la jambe droite. Quelque temps après, il prit une pièce de canon à l'ennemi et passa en qualité de chef d'escadron au 17e régiment de chasseurs à cheval, d'organisation belge, le 1er septembre 1793. Admis en qualité d'officier adjoint de son grade au 5e hussards au licenciement des troupes belges, le 4 juin 1794, il fît la guerre aux armées de Sambre-et-Meuse, de Rhin-et-Moselle, du Danube et du Rhin, jusqu'à la paix de Lunéville. Le 30 juin 1798, à l'avant-garde du général Jourdan, il chargea l'ennemi et lui prit 300 hommes, et le 8 juillet suivant, à la retraite de l'armée française, il fit prisonnier un chef d'escadron du régiment de Cobourg-dragons. Titulaire le 13 août de la même année, il se trouva, le 9 juillet 1799, à la bataille d'Engen, où il força la position de l'ennemi près de Saint-Biaise, prit 3 pièces de canon et fît 80 prisonniers. Le 16 septembre de la même année, avec 50 hommes, il fit mettre bas les armes à un bataillon de Valaques dont il prit le major, et dans la même campagne, à Gallenzeck, à la tête de 3 escadrons, il culbuta l'ennemi et lui enleva tous ses bagages : enfin, le 28 novembre 1800, il repoussa 2 bataillons de manteaux-rouges et fut jeté à bas de son cheval par un coup de feu. A la fin de la campagne, le général en chef Moreau demanda pour lui une arme d'honneur. Envoyé en Hanovre au commencement de 1802, il y fut nommé, par le général en chef Mortier, colonel des chasseurs à cheval de la légion hanovrienne, le 1er octobre 1803, obtint sa confirmation le 24 août suivant et reçut la décoration de la Légion d'Honneur le 25 septembre de la même année. Il commanda cette cavalerie en Espagne depuis le commencement de l'année 1808 jusqu'au mois d'avril 1810, et rentra en France pour raison de santé. Nommé général de brigade le 31 mars 1812, il alla prendre aussitôt le commandement de l'île de Gorée (17e division militaire), et rejoignit au mois de septembre le corps de cavalerie de réserve de la grande armée, avec lequel il prit part à l'expédition de Russie. Nommé verbalement officier de la Légion d'Honneur par l'Empereur Napoléon pendant la retraite, en octobre, cette promotion ne fut pas confirmée. Resté malade à Kœnigsberg, il y fut fait prisonnier de guerre au départ des troupes françaises, et de retour des prisons en juin 1814, il rentra dans son pays natal, obtint la croix de Saint-Louis le 8 juillet, et fut reconnu démissionnaire du service de France dans le grade honorifique de lieutenant-général le 6 septembre de la même année. Depuis cette époque, on est sans nouvelles de ce légionnaire. p.289 Sources: DE LA LÉGION-D'HONNEUR BIOGRAPHIE DE TOUS LES DÉCORÉS PAR MM. LIEVYNS, AGRÉGÉ DE L'UNIVERSITÉ VERDOT, CHEF D'INSTITUTION HÉGAT, INGÉNIEUR-HYDROGRAPHE DE LA MARINE

Soumis par Alain B.

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Mariage à Rivière Du Loup le 16 mai 1905 Joseph Evers (21ans ?) & Dérilda Guérette (15ans ?) (?-??-1874 à 27-03-1962) (??-??-1890 à 31-12-1970) 88ans ? 80ans? 16enfants dont 9 survivants 1906-Siméon né à Rivière du Loup le 6-05-1906 1*-mariage en 1925 à Généria Corriveau à 19ans et divorce le ?? 2*-mariage le 18-08-1870 à Mary Sylvaine Alphéa Boudreault ,(veuve née le 15 aout 1920à Sawyrville? ) à l’église Baptiste deSchefferville de Sept-Iles lui a 64ans et elle 50 ans. Du 1*mariage ils ont eu 8enfants : Irène, Marie-Paule, Madeleine, Rita, Carmen, Huguette, René, Françoise.(Jean-Louis Evers dit aussi Gérard ) 1908-Alphonse marié le 17-02-1931 à Rolande Lapierre à St-Désiré du Lac noir à Black Lake comté Mégantic lui 23ans elle 17ans de St- Adrien d’Irlande. Ils ont eu ? enfants (Gaby,…………………….) lui journalier elle ménagère Alphonse Né à New ??? 1910-Marie-Rose mariée le 27-06-1932 à Albert Guérard à église de Ste-Thérèse de l’Enfant-Jésus De St-Édouard de Lotbinière, lui 28ans cultivateur de de St-Adrien d’Irlande elle 22ans ménagère. Ils ont eu 2enfants :Clément ,Thérèse. 1911-Léopold né le 19mai 1911. marié le 26-06- 1939 à Antoinette Boucher (née le 8juin1914) à St-Janvier de Joly de Lotbinière sous la fabrique de St-Édouard lui 28ans elle 25 ans. Léopold dcd d’un cancer du poumon ou gorge, le 24janvier1980.Antoinette dcd d’un problème cardiaque amenant à un long coma et paralysie, le 25décembre1980. Ils ont eu ? enfants dont 09 survivants : Eddy(dcd), Jean-Louis, Carmelle, Murielle, Marcel, Jean-Claude(dcd), Jean, Réal, Jeannette, Lucie (jumelle dcd), Ginette. 1912-Albert né à St-Honoré de Témiscouata marié le 31-12-1940 à Corrine Boucher à St-Janvier de Joly sous la fabrique de St-Édouard de Lotbinière lui 28 ans elle 23 ans. Albert a travaillé longtemps pour une compagnie de chemin de fer. Albert dcd d’un cancer du poumon. Corrine d’un trouble cardiaque dont elle a souffert toute sa vie. Ils ont eu 3 enfants : Gaston, Guertin, Gérald. 1915-Jeanne mariée le 27-12-1939 à Florian Gaumont à St-Janvier de Joly sous la fabrique de St-Édouard lui de Joly 31 ou 36 ans elle 24 ans.Jeanne est dcd des suites du diabète. Ils ont adopté un enfant : Michel. 1917-Alfred marié le 25-11-1947 à Madeleine Lemay couturière à St-Flavien de Lotbinière . lui 31 ans elle 30ans. Alfred est dcd des suites du diàbète. Madeleine dcdée le 9mai 2008 à Drummondville Ils ont eu 2 enfants :Jean-Pierre(Pierrette? et Jacqueline.(Robert Gagnon) 1918-Pauline mariée le 09-11-1940 à Joseph Isabelle, elle a 22ans. Ils n’ont pas eu d’enfants. Elle demande à 3 reprises de rénover sa maison et la 3* fois elle fait installer un ascenseur ils vivent au 2* et reçoivent au premier. Et l’ascenseur brise et Pauline se blesse et reste paralysée et en chaise roulante jusqu’à la fin de ses jours. 1920-Bertha mariée le 02-07-1955 à Camil Bilodeau, elle a 35ans. Ils ont eu 2enfants : Louise (dcd), Marjolaine.

Soumis par Marielle R.

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Hollande J ?ooken Eindhoven 9 avril 1896 Notes de ma traversée maritime de Dunkerque à Québec à bord du steamer Sarnia 11avril1896 Bruxelles Belgique Notes tirées d’un petit calepin écrit par un frère d’une communauté qui accompagnait Joseph Evers lors de la traversée en bateau qui les menait au Québec. Quel bonheur, il fait un temps magnifique, le soleil est haut au ciel J’étais levé déjà à quatre heures et quart et après avoir fait ma toilette et pris mon déjeuner, il était 5heures.Ma tête était chargées de noires idées, car j’étais partis et Dieu le sait quand je ………..encore ma chère Patrie et involontairement m’échappe le cri : ma Hollande je vous aime Pour changer d’idée, j’allais me promener sur le boulevard botanique Oh la nature me riait, tout était en fleur et avant que j’y pense je me trouve en face de l’église de Jésus rue Royale .J’entre et justement un prêtre monte sur l’autel, j’entends la messe peut-être la dernière dans la ville d’Europe. Il est à peu près 6heures moins vingt je me hâte à la gauche nord pour rejoindre mes compagnons ……….. …………. ……… devine …… on était déjà inquiet de ma personne. On faisait nos adieux aux amis et connaissances .Notre Révérend supérieur nous donne sa bénédiction et juste à 6 heures. Le ……..se met en mouvement on partait avec les larmes de joies dans les yeux, le supérieur nous salue encore et nous disparaissons des yeux. Nous étions 6 : Octave ,Anatole,Nicolas,et moi qu’allons partir et abbé Van Damme,le père d’Octave et Jean-Baptiste qui nous rejoindra 3 mois plus tard. Personne parle ,il règne dans notre …. Coupé un silence de mort mais moi qui avait regagné toute ma gaieté. Nous voilà parti mais pas encore arrivé. Pas de réponse je commence à me moquer d’eux ça réussit mieux. On parle on allume on fume avec la fumée des cigares on oublie les noires idées. Bientôt la gaieté règne dans tous les cœurs on parle des bienfaits des eaux, du beau temps, des digues qu’on vague le long de la mer et de pluie car soudainement les digues du ciel sont brisées et il pleut pour pas mettre un chien dehors. Toujours on parle la conversation s’éteint mais je trouvais a bien la pause, on passe la frontière de la Belgique. Cela ne me ferai pas grand-chose, car la veille j’avais passé les miennes, cela veut dire les frontières de la Hollande, donc comme je disais on passe la frontière de la Belgique. Aussitôt je crie de toute mes forces Vive la Belgique, hourra, hip, hip, hip, hourra et après vive la France etc. Cela réanime la conversation…….. ……….. L’autre coupé, entend répéter comme un écho, Vive la France Nous autres on rit de nouveau et on bavarde aussi. Vers onze heures on arrive à Dunkerque toujours sous cette bénédiction céleste, qui nous mouillait jusqu’aux os. Tout de suite à notre arrivée, on se dirigeait vers notre barque à 2 mats avec une longueur de 120 mètres et profondeur de 10mètres Ayant un contenu de 3740 tonnes. Je pensais en moi-même si les Hollandais pouvaient dire …….. ………. notre barque. Le soir à 4heures on conduisait nos deux …. ….. C’est-à-dire le père d’Octave et Jean –Baptiste .On avait beau dire le père d’Octave pleurait comme un enfant. Après le départ du train, on………. Maintenant à quatre du navire .On allait partout, tantôt en haut tantôt en bas pour faire plus ample connaissance avec notre nouvelle habitation flottante, C’est huit heure les yeux deviennent pesants et demain je continuerai mes notices donc bonne nuit, dormez bien et rêvez aux anges Dimanche 12 avril 1896. Bonjour es-ce que vous avez bien dormi, moi j’ai dormi comme un prince et tellement j’ai ronflé que le navire a du se tourné, je ne sais pas trop si c’est moi à cause que j’ai ronflé ou la vapeur qui a fait tourner le navire mais toujours il était tourné dans …. ….aperçu .C’est 5heures et la pluie a fait place au beau soleil de France à son ciel bleu. Vu qu’on part seulement à 11 ou 12 heures on a le temps de remplir nos devoirs de chrétiens et on assiste à la Ste Messe dans l’l’église de St-Éloi. Octave et moi avaient le bonheur de communier et avec respect on recevait le bon Dieu en France et fortifié ainsi on retournait au navire .J’ai regretté de ne pas avoir visité la ville mais enfin. À 10heures il entrait le steamer dans le port. Dans le port l’un venait de Buenos Y……. et l’autre je l’ai oublié mais l’équipage était tous des neigres, très jolis tous ces visages noirs. Le gouverneur accompagné par le maire, le général des officiers tous en grande tenue viennent visiter le navire car c’est le premier qui part directement de la France au Canada depuis 12 ans. C’est midi moins vingt le gouverneur ainsi que les personnages qui ne font pas le voyage quittent le bord .Au rivage une multitude de personnes à peu près 500 je crois veut assister au départ. La machine siffle, le tricolore est mis au mat et Nomine Domini sous toute acclamations de multitude commence le voyage .Nous prions un Ave marie ainsi qu’avec Marie nous naviguons. Quand on sorti du port on descendait à la salle à manger pour dîner. On n’était pas 10 minutes à table et déjà on voit des figures qui pâlissent qui sortent et font donner à manger aux poissons. Entre autres 2 des nous Nicolas et Anatole. La mer demandait déjà 2 victimes. Pâle comme la mort, je pensais que leur dernière heure était arrivé, je pensais déjà un Requiescat in pace. À 2 ½ heures on était en face de Calais, À 4 heures on passait un voilier anglais .la mer était très orageuse et tellement fâchée que je recevais un baptême d’eau salée et mouillé comme un chat, je descendais dans ma cabine pour changer d’habillement. Que l’eau salée fait mal aux yeux! Encore quelques minutes et on voyait l’Angleterre. C’est 31/2 heures et la mer est très fâcheuse. Un coup de tonnerre annonce quelque chose de drôle. Deux fois les éclairs traversent l’air suivi par le tonnerre : la mer devient plus fâcheuse .Les petites vagues viennent voir ce qui se passe sur le pont mais cela ne plait pas aux autres mais moi je m’amuse très bien. À 6heures on soupe et les mêmes de 1heure sont mis hors combat et si malade qu’ils se couchent déjà à 6 ½ heures jusqu’à 8 heures je ne voyais rien de remarquable et j’allais me coucher. Lundi 13 avril 1896 Le matin 7 heures on était en vue d’Irlande, Nicolas est si malade qu’il doit rester couché. À 7 1/2heures on passe de nouveau un voilier chargé de bestiaux qui viennent d’Océanie .À 10heures un navire et à 1 1/2heures un navire de guerre lequel nous saluons en haut dont le pavillon. Nous voyons aussi une centaine de mouettes .Le soir à 10heures on passait le dernier fleuve et on entre dans l’océan infini .Nous chatâmes l’Ave maria Stella et après cela on allait se coucher . Mardi le 14 avril 1896. Il fait très beau. À 8heures on voyait une toute petite et très jolie bête c.à.d. un requin. À 11heures au dîner des 13 personnes qui étaient à tables 11 ont dû quitter la salle à manger pour nourrir les poissons et 0 malheur entre eux étaient trois de nous primo Octave second Anatole et tertio Nicolas. Oh! Bonheur j’étais épargné encore. La mer est très rageuse .Les vagues passent au- dessus le pont. Mercredi 15 avril 1896 À 5 ½ heures j’étais sur le pont et je voyais de nouveau un requin avec des petits yeux et lèvre. Je le jugeais d’une longueur de 20 à 22 pieds il ne paraissait pas farouche car il suivait le navire .les matelots me disent que c’est un signe d’un prochain décès.je ne crois pas cela je suis trop incrédule pour des affaires pareilles .Personne avait le mal de mer seulement Nicolas ne venait pas au souper. Jeudi 16 avril 1896. Je vois de nouveau un requin et je pense encore au récit du matelot. Le révérend Monsieur Le loup, curé de …..France venait me dire de descendre au 3ième classe pour voir l’enfant qui est malade .Je descends et je trouve l’enfant pire que les autres jours .Malgré que j’avais dit à la mère d’avertir les médecins,elleavait négligé cela et sans rien dire d’avantage j’avertis le médecin. J’avais le pressentiment que ce matelot avait raison et que la mort viendra visiter le navire. L’enfant fut transporter au 1ière classe .il était toute la journée sans connaissance. Le soir à 5heures après que le curé l’avait donné l’absolution, l’enfant revenait à la raison et appelait sa mère .la mère était comme hors d’elle-même de joie. Hélas cette joie n’était pas de longue durée .À 9 1/4heures il change tout à coup de couleur et perd connaissance, je cours chercher le médecin encore une fois le pauvre petit ouvre les yeux et crie très aigu maman et s’envole vers les cieux .Il avait 6 ½ ans .les pauvres parents se jettent sur le petit cadavre appelant en vain leur cher enfant. La mère tombe d’une attaque d’apoplexie .Plus qu’une heure on s’occupe d’elle et quand elle revient à elle -même elle ne se rappelle de rien .En silence j’apporte l’enfant sur mes bras dans l’hopital et cette nuit je me couchais à 2 heures Vendredi 17 avril 1896 Mon premier ouvrage est de préparer le cadavre .après l’avoir lavé, les mains et le visage je le mis sur la table habillé d’un habit blanc et je le couvre du drapeau rouge, blanc, bleu, le drapeau français car il est français. Encore une fois le père venait voir son enfant, impossible d’écrire sa douleur, deux hommes le conduisent hors de la chambre .Vers 10heures viennent 2 marins et un officier .Ils font un sac de toile et mettent l’enfant dedans, après avoir attaché trois grands morceaux de fer aux pieds, car il sera enterré dans la mer. Dans l’après -midi à 2 heures on jette l’ancre en pleine mer .M. le curé Ledoux suivi du capitaine, officiers, marins arrivent pour faire les cérémonies de l’Église .les officiers et les matelots avec la tête nue et le capitaine l’épée en main se tenaient autour du prêtre. Après la cérémonie, un autre et moi prennent le corps et le portent dehors ou trois matelots tiennent une longue planche .Après une dernière bénédiction on le mit sur la planche, un coup de l’eau se lève et tout est fini, la fosse était creusée et fermée en même temps et on continue le chemin .Toute le reste de la journée on parlait de la cérémonie .Un enterrement sur terre est touchant mais un enterrement en mer est plus touchante ne voudrais plus le voir. Samedi 18 avril 1896 Ce matin on dit seulement à la mère ou était son enfant .Nicolas est encore malade .À 9 heures on était à l’endroit que les marins appellent la gueule du diable ou de l’enfer. À 9 ¾ heures on voit 3 poissons marsouins ils sautent de temps en temps hors de l’eau .On voyait un vapeur à 2 cheminées .Octave et natale aussi malade ha! ha! Ha ! Dimanche 19 avril1896 Grande fête religieuse .On aura la sainte messe à bord .À 9 3/4 heures je prépare l’autel dans la salle à manger. La mer est calme .Le prêtre fait un petit sermon disant de se mettre sous la protection de la Sainte Vierge, l’étoile de la mer ensuite de nous rappeler que nous sommes ballotter sur la mer, nous ballottons aussi sur la mer de notre vie. Je servais la messe tous étaient présents, aussi quelques officiers, quoique protestants anglais .Pendant la journée on ne voyait rien, ni vapeur, ni poissons, ni oiseaux rien que le ciel et l’eau. Lundi 20 avril 1896. Rien que le ciel et l’eau. Mardi 21 avril 1896. On voit un voilier qui nous salue en haussant 6 pavillons Mercredi 22 avril 1896. Il fait très froid on est entouré de 7 montagnes de glace Une nous passe sur une distance de 300 mètres sa hauteur était à peu près de 70 mètres et la longueur 1400 à1500 mètres .il grêle, il neige, il fait tout ce qui est mauvais .On est pour cela condamner à rester dans l’entrepont. Jeudi 23 avril 1896. Nous avons vu une quantité d’oiseaux. Vendredi 24 avril1896 Fête de mon frère Louis. À 6heures M. le curé dit sa messe dans laquelle je communie à l’intention de mon frère .Enfin 7 ½ heures on voit terre .Tous sans exception étaient contents .Ce sont les côtes de St-Pierre et Miquelon. Et à midi moins 20 justement 12 jours après notre départ en France on jette l’ancre et plusieurs voyageurs allaient à terre .Ah quel bon air cet air de la terre, L’Île a bien mérité son nom de St-Pierre car on ne voit rien que des pierres. Mais Oh! Surprise, voilà, et c’est le plus drôle de tous, imaginez-vous la première fois de ma vie je vois des maisons en bois, je ne croyais pas mes yeux, mais c’est bien vrai je les ai touchées avec mes mains, des maisons en bois, c’est drôle. On visitait aussi le cimetière. Monsieur A.Bodard sa dame ,ses 2 filles et ses 2 fils Octave, Anatole et moi ,(Nicolas restait là). Les messieurs descendaient dans une crypte ou sépulcre 5 cercueils étaient là.je je frappais sur quelques-unes et disait bonjour mais il ne répondait pas malgré qu’on venait de si loin pour leur dire bonjour. Le soir à 7heures on retournait à bord du bateau Samedi 25 avril 1896. À 7 jeunes on allait de nouveau au bord …. L’église est belle et grande. À 11heures on retournait au navire et à 2heures on repartait .Maintenant on entre dans le golfe du St-Laurent donc on aura à 2 côté la terre jusqu’à Québec. Dimanche 26 avril 1896 Comme dimanche dernier on aura la messe à 10heures, vu que cela la dernière elle sera chantée .Tous sont présents et aujourd’hui aussi le capitaine en grande tenue. Lundi 27 avril 1896 À 6heures messe basse et communion. Nous sommes entourés de glace de temps en temps le navire tremble tellement il force pour briser la glace, il fait bien froid .Le soir à 8heures on n’ose plus avancer. De peur de la glace et on jette l’ancre en face de Fraserville ou Rivière Du loup Mardi 28 avril 1896 À 6heures messe basse et communion .À 11heures on lève l’ancre, après que le pilote est abordé. On avance très bien Te Deum Laudamus le soir à 6heures on jette l’ancre et on est à Québec Deo Gratias . Quel spectacle, une foule de monde est au quai. Les voyageurs se pressent pour ramasser leur paquets et après avoir fait nos adieux à ceux qui continuent leur route jusqu’à Montréal, on part c’est 10heures .On allait loger à l’hotel de la Montagne rue de la montagne. Mercredi 29 avril1896 À cinq heures on est déjà levé pour visiter la ville. On y a de belles églises surtout la cathédrale un panorama magnifique du haut de la forteresse la basse ville est une sale ville voilà Québec. Dans l’après –midi à 2 1/2 heures on prenait le train pour Fraserville ou on arrive à 6heures du soir On nous attendait car M Saindon directeur de la poste nous conduisait chez lui ou on logeait. Jeudi 30 avril 1896 Après avoir entendu la messe et Dieu remercier pour une heureuse traversée on allait à Cacouna lieu de destination C’est une Ile à peu près de 500 hectares on y a une grande pêcherie .Plus tard j’écrirais plus à propos de cela. Mais le plus beau de tout est que nous enfoncions encore jusqu’aux genoux dans la neige et cela un 30 avril. Vendredi 1mai 1896 Premier vendredi du mois consacré au Sacré Cœur de Jésus donc jour de communion. Après la messe on fit connaissance avec M, le curé Bolduc et nous déjeunions avec lui. Enfin nous voilà donc arrivées au lieu de destination après un voyage de 21 jours. J’écrirais plus de détails dans la suite de notre séjour à l »île de Cacouna .Pour le moment Salut. Samedi 2 mai 1896 Inspection de l’île et visite à la pêche. ,,,,,,,a dit à M ……. Qu’il y a trop de ……… à l’ouvrage. Je ne …….pas ……………………………….. Dimanche 3 mai 1896 On va ensemble à la grande messe, singulier sermon (…….) Tout le monde nous regarde si nous étions semblables à eux. Vendredi 15 mai 1896 On prend le premier poisson, une quantité de harengs et deux poules de mer. Mercredi 20 mai 1896 Aujourd’hui dans la pêche un esturgeon Samedi 23 mai 1896 Pas de poisson à manger on va se coucher après avoir mangé chacun un hareng Lundi 25 mai 1896 Nous avons vu repartir le steamer ………… sur lequel nous sommes venus au Canada Samedi30 mai 1896 Aujourd’hui dans la pêche 2 saumons. Lundi 1 juin 1896 On parle aujourd’hui de l’arrivée du père ……………. Et on s’étonne de ne rien recevoir de lui Jeudi 4 juin1896 Fête –Dieu on va à la grand-messe en voiture Dimanche 7 juin 1896 Procession du très saint sacrement dans le village 1ier reposoir en face de la poste 2 ième et le plus beau chez M. le docteur Tardif. Le curé Bolduc porte le T.S.Sacrement .M. le Vicaire Saindon maitre de cérémonie. Dans l’après-midi arrivent dans l’imprévu ………………………….????????Gustave…….D????? Et Henri …?????? On est content tout est oublié, même que ce matin on n’a pas déjeuné. Ils nous annoncent l’arrivée du RP,……………..?????? Avec 29 personnes. Lundi 8 juin 1896 M??????????????? arrivent avec Med van des Kinderen,Jean-Baptiste Hendrifix et les enfants : Victor Robert,Louis Allemand ,Henri Robert,Émile Robert, Prosper Strooband,Adémar Strooband ,Frédéric martin,Joseph Evers ,Maurice Verbraech,Jean-Louis Lincée,Oscar Lincée,Armand Lincée,Et Étienne Pétier ainsi qu’une famille française avec deux enfants et deux hommes Le plus beau de tout c’était qu’on avait rien à manger et on faisait cuire des galettes sur le poele. Décédé le 19 décembre 1936 inhumé le 22 à l’âge de 56 ans et 7 mois . À l’âge ou il aurait goûté un peu de repos Dieu le retira à l’affectation des siens mais moi qui fut ta fille bien aimée, qui fut celle que …… …… jamais je ne vous oublierai Veillez du haut du ciel sur nos enfants au père bien –aimé et protégez –nous comme vous avez su nous gardez avec vous .Jeanne.

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Famille Evers d’hier à aujourd’hui Louvain en Belgique Pierre Evers marié à RosalieVaahns (Vanhaan) (Van se traduit par De ) Militaire dcd à la guerre ? dcd du diabète ? Ont eu 3 enfants : Joseph (1887 ? ou 1874?) - Jean - Marie Devenus orphelins vers 189 ? , placés à l’orphelinat à partir de là ne savons plus rien de Jean et Marie. Vers 1895, Joseph s’embarque sur un navire pour le Canada guidé par des Frères (religieux) pour fonder colonie à l’Île Verte en face de Rivière du Loup. À leur arrivée au Canada leurs papiers sont confisqués, sans jamais les retrouvés. Vers 1896, Les autorités canadiennes se rendent compte que les jeunes souffrent de mauvais traitements. Les frères religieux sont rapatriés en Europe, les enfants qui désirent rester au Canada et sont adoptés par les riverains. Joseph, (qui a environ 15 ans?….) est adopté par une famille Bérubé de Rivière du Loup. Vers 189 ?, Joseph travaille comme palefrenier (valet d’écurie) chez M.Molson propriétaire de la banque du même nom. Il fait connaissance avec la jeune Dérilda Guérette qui travaille aussi pour la famille Molson comme bonne. Dérilda Guérette (née le 9 juillet 1886) fille de Simon Guérette et de Tarzille Lavoie (cordonnier). Le16 mai 1905 à Rivière du Loup, Joseph, 18ans ? Se marie à Dérilda 19 ans ? (âges incertains car date de naissance incertaine. Selon le contrat de mariage Joseph était majeur donc 21ans et plus et Dérilda mineure donc moins de 21ans.) Ils s’établissent sur un lot donné par le gouvernement situé aux Étroits près du Lac Témiscouata, St-Marc du Lac-Long près de Rivière Bleue et de Rivière du Loup et ça pendant environ 20ans. Ils bâtissent maison et bâtiments de ferme. Naîtront d’eux16enfants dont 9 survivront. (Voir liste sur un autre document intitulé mariage à Rivière Du Loup 16mai 1905) Vers191 ? , Un feu de forêt rase tout sauf machine à coudre. On rebâtit Vers191 ? La foudre rase tout à nouveau. Ils se réfugient chez la sœur de Dérilda. (Avant 1920 car apparamment Bertha n’est Pas née) Vers 1920 ? Joseph part pour Blake Lake pour trouver de l’ouvrage dans les mines d’amiante. Il fait venir sa famille et bâtissent maison. (Demeure là environ 10 ans : 1920à 1930). En 1930, C’est la crise, ils se retrouvent sans travail ; sa famille et ses enfants plus vieux mariés Le gouvernement lotisse des lots sur la Seignerie de Joly ils déménagent donc tous à Joly comté de Lotbinière. Il obtient un lot et ses enfants mariés des lots voisins. Ils restent dans des petits camps en bois ronds avant de se bâtir maison l’année suivante. Selon Madeleine Lemay épouse d’Alfred, les lots étaient répartis comme suit : Joly ici…. Joseph (père), Alfred, Albert, Léopold, Siméon, Alphonse (ce lot fut acquis par Marie-Rose au départ d’Alphonse partie sur la côte nord il faisait du taxi et revient à Thedford plutard il est mort 2 jours avant le jour de l’an). En 1962, le 27 mars décès de Joseph En 1971, le 31 décembre décès de Dérilda. Ces informations sont tirées du souvenir de Madeleine Lemay, épouse d’Alfred Evers, frère de Léopold. Et aussi des informations reçues lors de la demande d’arbre généalogique par Jean Evers fils de Léopold .Arbre fait par Monsieur Bernard Leboeuf. Aussi info sur vielles photos . Selon les informations recueillies, j‘ai fait les calculs suivants : c’est approximatif……

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Famille Evers d’hier à aujourd’hui Louvain en Belgique Pierre Evers marié à RosalieVaahns (Vanhaan) (Van se traduit par De ) Militaire dcd à la guerre ? dcd du diabète ? Ont eu 3 enfants : Joseph (1887 ? ou 1874?) - Jean - Marie Devenus orphelins vers 189 ? , placés à l’orphelinat à partir de là ne savons plus rien de Jean et Marie. Vers 1895, Joseph s’embarque sur un navire pour le Canada guidé par des Frères (religieux) pour fonder colonie à l’Île Verte en face de Rivière du Loup. À leur arrivée au Canada leurs papiers sont confisqués, sans jamais les retrouvés. Vers 1896, Les autorités canadiennes se rendent compte que les jeunes souffrent de mauvais traitements. Les frères religieux sont rapatriés en Europe, les enfants qui désirent rester au Canada et sont adoptés par les riverains. Joseph, (qui a environ 15 ans?….) est adopté par une famille Bérubé de Rivière du Loup. Vers 189 ?, Joseph travaille comme palefrenier (valet d’écurie) chez M.Molson propriétaire de la banque du même nom. Il fait connaissance avec la jeune Dérilda Guérette qui travaille aussi pour la famille Molson comme bonne. Dérilda Guérette (née le 9 juillet 1886) fille de Simon Guérette et de Tarzille Lavoie (cordonnier). Le16 mai 1905 à Rivière du Loup, Joseph, 18ans ? Se marie à Dérilda 19 ans ? (âges incertains car date de naissance incertaine. Selon le contrat de mariage Joseph était majeur donc 21ans et plus et Dérilda mineure donc moins de 21ans.) Ils s’établissent sur un lot donné par le gouvernement situé aux Étroits près du Lac Témiscouata, St-Marc du Lac-Long près de Rivière Bleue et de Rivière du Loup et ça pendant environ 20ans. Ils bâtissent maison et bâtiments de ferme. Naîtront d’eux16enfants dont 9 survivront. (Voir liste sur un autre document intitulé mariage à Rivière Du Loup 16mai 1905) Vers191 ? , Un feu de forêt rase tout sauf machine à coudre. On rebâtit Vers191 ? La foudre rase tout à nouveau. Ils se réfugient chez la sœur de Dérilda. (Avant 1920 car apparamment Bertha n’est Pas née) Vers 1920 ? Joseph part pour Blake Lake pour trouver de l’ouvrage dans les mines d’amiante. Il fait venir sa famille et bâtissent maison. (Demeure là environ 10 ans : 1920à 1930). En 1930, C’est la crise, ils se retrouvent sans travail ; sa famille et ses enfants plus vieux mariés Le gouvernement lotisse des lots sur la Seignerie de Joly ils déménagent donc tous à Joly comté de Lotbinière. Il obtient un lot et ses enfants mariés des lots voisins. Ils restent dans des petits camps en bois ronds avant de se bâtir maison l’année suivante. Selon Madeleine Lemay épouse d’Alfred, les lots étaient répartis comme suit : Joly ici…. Joseph (père), Alfred, Albert, Léopold, Siméon, Alphonse (ce lot fut acquis par Marie-Rose au départ d’Alphonse partie sur la côte nord il faisait du taxi et revient à Thedford plutard il est mort 2 jours avant le jour de l’an). En 1962, le 27 mars décès de Joseph En 1971, le 31 décembre décès de Dérilda. Ces informations sont tirées du souvenir de Madeleine Lemay, épouse d’Alfred Evers, frère de Léopold. Et aussi des informations reçues lors de la demande d’arbre généalogique par Jean Evers fils de Léopold .Arbre fait par Monsieur Bernard Leboeuf. Aussi info sur vielles photos .

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Origine du nom de famille Evers

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Dernière mise à jour: 2023-10-10

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