Notre banque de données contient 10473 mariages de la famille Gendron
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Nicolas Gendron-Lafontaine est né vers 1634 à La Rochelle, en France. Fils de Pierre Gendron et Marie Renaud, il épouse Marie-Marthe Hubert, fille de Toussaint et Catherine Champagne, le 14 février 1656 à Québec. De cette union naissent 6 enfants. Ce boucher s’établit d’abord à Québec, puis à Sainte-Famille, Île d’Orléans. Le viol de son épouse par un Amérindien, en 1664, est à l’origine d’une décision du Conseil Souverain, qui stipule qu’à partir de ce jour, les Amérindiens qui commettront des crimes seront soumis aux même peines que les Français. Il décède le 16 janvier 1671 à Sainte-Famille.
Soumis par MesAieux.com
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Pierre Gendron est né vers 1643 à Niort, Poitou, Deux-Sèvres, en France. Fils de René Gendron et Catherine Blain, il épouse Marie Charpentier, fille de François et Marie Gateau, le 1er novembre 1671 au Québec. De cette union naissent 4 enfants. Veuf en 1713, il épouse en secondes noces Marie-Marthe Lefebvre, fille de Pierre et Michelle Chauvet, le 17 juillet 1715 à La Pérade. Cette union demeure sans postérité. Il s’installe à La Pérade, où il demeure jusqu’à son décès, le 6 novembre 1724.
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Nicolas Gendron-Lafontaine est né vers 1634 à La Rochelle, en France. Fils de Pierre Gendron et Marie Renaud, il épouse Marie-Marthe Hubert, fille de Toussaint et Catherine Champagne, le 14 février 1656 à Québec. De cette union naissent 6 enfants. Ce boucher s’établit d’abord à Québec, puis à Sainte-Famille, Île d’Orléans. Le viol de son épouse par un Amérindien, en 1664, est à l’origine d’une décision du Conseil Souverain, qui stipule qu’à partir de ce jour, les Amérindiens qui commettront des crimes seront soumis aux même peines que les Français. Il décède le 16 janvier 1671 à Sainte-Famille.
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Guillaume Gendron-La Rolandière a été baptisé le 7 juillet 1624 à Blain, Loire-Atlantique, France. Fils de Julien Gendron et de Julienne Janignon-Janigon, il épouse Anne Loiseau, fille de François Loiseau et de Barbe Garlin, le 21 juillet 1664 à Montréal. Le couple a 2 filles. Arrivé à Montréal en 1653, il y est confirmé en 1660. En 1665, alors qu’il est déjà établi à Montréal, le sieur Lemoine lui concède 60 arpents de terre dans sa Seigneurie de Longueuil. C’est après 1669 qu’il s’établit à Longueuil où il devient l’un des pionniers. En 1681, il possède 2 bêtes à cornes et 9 arpents de terre. Il est inhumé à Montréal le 24 septembre 1687.
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Bonjour la famille Gendron. Il me fait plaisir de savoir que nos familles sont arrvées dans les méme année sur l'Ile d'Orléan
Soumis par Gilles M.
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GENDRON-LAFONTAINE – Gendron est le diminutif de gendre, le mari de la fille. Lafontaine est un nom de guerre. Surnom donné à un soldat à son arrivée au régiment. Le surnom a ensuite été transmis aux descendants. Se dit de celui qui habite auprès d'une fontaine, ou qui est originaire d'un lieu-dit ou d'un hameau portant ce nom.
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GENDRON - diminutif de gendre, le mari de la fille. Variante Gendreau
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GENDRON - diminutif de gendre, le mari de la fille. Variante Gendreau, Gendra
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Le plus célèbre de tous les Gendron à avoir tenté l’aventure en Nouvelle-France est François, fils d’Éloi et de Gillette Doussineau. Bien que n’ayant laissé aucun descendant, il a cependant rendu de grands services. Venu ici à titre de «donné des Jésuites», il se rend utile en mettant ses connaissances médicales à la disposition de ceux qui peuvent en avoir besoin. Oeuvrant auprès des malades, français ou amérindiens, il s’intéresse particulièrement au cancer pour le traitement duquel il emprunte aux Hurons, la «Pierre Érienne». Cette pierre ou «sel pétrifié» se trouvait «au pied de certains grands rochers qui se rencontrent» sur le lac Érié. De retour en France en 1650, après un séjour de sept ans en Nouvelle-France, François Gendron deviendra prêtre. Il sera appelé, en 1664, à soigner la reine mère, Anne d’Autriche, dont il allègera les souffrances.
Soumis par Laurier D.
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C. P. 62007 CP La Pérade
3440 Ch. des Quatre-Bourgeois
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